Amir - Longtemps (Clip officiel)
Amir "Longtemps" disponible ici : https://amir.lnk.to/longtempsAY
« Longtemps » extrait de la réédition de son nouvel album « Addictions »
Clip réalisé par Colin Solal Cardo
Sur une idée originale d'Amir
Prod : HK Corp
Comédiens : Lou Gala et Julien Mesclon
Paroles :
Je veux des problèmes,
Je veux que tes galères deviennent les miennes,
Je veux que tu me balances au visage tes orages, tes peines, pour des nuits diluviennes
Je veux qu’on s’apprenne,
Je veux partager tes joies tes migraines,
Ton corps me donne le vertige et tes mains me mènent où rien ne nous gêne
Je pourrais me tatouer notre histoire sur le bras,
Me mettre dans de beaux draps si t’es avec moi,
C’est toi dans ce monde de fous je le sais c’est tout
Et je voudrais que ça dure longtemps, user ma peau sur la tienne, un jour j’oublierai tout jusqu’à mon nom je saurais simplement que t’es là, que t’es belle que t’es mienne
Je voudrais que ça dure cent ans, que jamais la raison n’atteigne cet aveu cette envie de rêver tous les deux quand même, jusqu’à ce qu’un jour nos deux yeux s’éteignent
Mon évidence, t’es mon sourire et ma carte chance, je veux qu’on déconne, qu’on décolle, qu’on délire, qu’on danse jusqu’au dernier silence
J’irai dans la rue si t’as besoin d’un toit, je pourrais vivre nu pour que t’aies un peu moins froid, c’est toi dans ce monde de fous je le sais c’est tout
Et je voudrais que ça dure longtemps, user ma peau sur la tienne, un jour j’oublierai tout jusqu’à mon nom je saurais simplement que t’es là, que t’es belle que t’es mienne
Je voudrais que ça dure cent ans, que jamais la raison n’atteigne cet aveu cette envie de rêver tous les deux quand même, jusqu’à ce qu’un jour nos deux yeux s’éteignent
Et je voudrais que ça dure longtemps, user ma peau sur la tienne, un jour j’oublierai tout jusqu’à mon nom je saurais simplement que t’es là, que t’es belle que t’es mienne
Je voudrais que ça dure cent ans, que jamais la raison n’atteigne cet aveu cette envie de rêver tous les deux quand même, jusqu’à ce qu’un jour nos deux yeux s’éteignent